Livre 1
Chapitre 2
Comment suis-je en vie ... ?
Ça fait tellement de bien. Par contre je ne ressens aucune douleur, c'est pas normal, mes poumons devraient être en feu. Ma gorge aussi. J'essaye de ne pas parler pour l'instant. Mais une fois que j'ai repris une respiration normale, je m'adresse a un médecin par des signes. Avant qu'il ne commence à parler je pousse l'autre qui ne me laisse toujours pas tranquille, même si j'ai failli mourir à cause de lui. Ha oui, tiens, il ne m'a pas laissée crever, je doit être importante alors.
Je regarde intensément le médecin. Il comprend et m'explique tout depuis le moment ou je me suis évanouie. Il n'a pas compris tout de suite cette abruti. Il a d'abord essayé de me ranimée avec du fer porté au rouge. Voyant que ça ne marchait pas il a vérifié mes signes vitaux et s'est aperçu que je en respirais plus. Alors à ce moment là il avait donné des ordres à ses gardes pour qu'ils m'allongent en dépliant la chaise et qu'ils aille chercher des secours. Berk ! Pour le coup il m'a fait du bouche à bouche en attendant le personnel médical ( ça faisait longtemps ... qu'il devait y pensé).
Il paraît que c'est ça qui m'a sauvé la vie. Ensuite les médecins saint arrivés mais il n'y avait rein à faire à part continuer le bouche à bouche et faire de l'aide cardiaque. Pendant une demie heure je suis restée entre la vie et la mort. Ouf, c'est pas passé loin.
On me ramène dans une autre chambre, plus approprié à une convalescente. Elle a un lit et un lavabo. Et des toilette dans un coin. Enfin un trou quoi. Berk. On me ramène mon manuscrit. Et encore du papier et de l'ancre. Ha, oui. Et c'est là que ça se gate.
--------------------------
une petite maj, ca faisait longtemps. desolée, mais la j'ai plus le temps de la taper, je vais essayer d'avancé mais j'ai peu de temps pour le faire, donc le rythme sera forcement plus lent.
image : http://postscripture.deviantart.com/
Chapitre 2
Comment suis-je en vie ... ?
Ça fait tellement de bien. Par contre je ne ressens aucune douleur, c'est pas normal, mes poumons devraient être en feu. Ma gorge aussi. J'essaye de ne pas parler pour l'instant. Mais une fois que j'ai repris une respiration normale, je m'adresse a un médecin par des signes. Avant qu'il ne commence à parler je pousse l'autre qui ne me laisse toujours pas tranquille, même si j'ai failli mourir à cause de lui. Ha oui, tiens, il ne m'a pas laissée crever, je doit être importante alors.
Je regarde intensément le médecin. Il comprend et m'explique tout depuis le moment ou je me suis évanouie. Il n'a pas compris tout de suite cette abruti. Il a d'abord essayé de me ranimée avec du fer porté au rouge. Voyant que ça ne marchait pas il a vérifié mes signes vitaux et s'est aperçu que je en respirais plus. Alors à ce moment là il avait donné des ordres à ses gardes pour qu'ils m'allongent en dépliant la chaise et qu'ils aille chercher des secours. Berk ! Pour le coup il m'a fait du bouche à bouche en attendant le personnel médical ( ça faisait longtemps ... qu'il devait y pensé).
Il paraît que c'est ça qui m'a sauvé la vie. Ensuite les médecins saint arrivés mais il n'y avait rein à faire à part continuer le bouche à bouche et faire de l'aide cardiaque. Pendant une demie heure je suis restée entre la vie et la mort. Ouf, c'est pas passé loin.
On me ramène dans une autre chambre, plus approprié à une convalescente. Elle a un lit et un lavabo. Et des toilette dans un coin. Enfin un trou quoi. Berk. On me ramène mon manuscrit. Et encore du papier et de l'ancre. Ha, oui. Et c'est là que ça se gate.
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une petite maj, ca faisait longtemps. desolée, mais la j'ai plus le temps de la taper, je vais essayer d'avancé mais j'ai peu de temps pour le faire, donc le rythme sera forcement plus lent.
image : http://postscripture.deviantart.com/